La stabilité de l'univers

Publié le par Domaine de Dieu

(14) Comme on l’a dit, lorsque dans un troupeau le nombre des naissances dépasse celui des disparitions, ce troupeau augmente de taille. Contrairement, lorsque les disparitions sont supérieures aux naissances, ce troupeau s’évanouit lentement. Il en est de même pour les galaxies qui peuplent l’univers. Toutefois, ce qu’il est important de connaître, ce n’est point le nombre de galaxies, car il s’agit d’un nombre sans commencement ni fin, mais qu’il y ait autant de matière intégrée (les astres) que de matière désintégrée (l’espace) ; sinon, il va de soi qu’il y aurait instabilité et inexistence des galaxies.

 

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(15) L’univers est donc stable, parce que L’INTÉGRATION et la DÉSINTÉGRATION se font simultanément en quantité semblable. Cela est comparable à l’inspiration et l’expiration d’une même quantité d’air. Imaginez qu’il n’y ait que l’intégration : il n’y aurait point d’étoiles qui se désintègrent et le volume même de l’univers ne pourrait exister, pas plus qu’il n’existerait s’il n’y avait que la désintégration. Non, ces deux mouvements contraires sont parfaitement équivalents. Ce qui est indéniable. Mais les scientifiques, eux, le dénieront car, forts limités dans le raisonnement, ils ne peuvent saisir l’intégration et la désintégration perpétuelles des astres.

 

(16) Parce que l’univers éternel est un continuel renouvellement des masses qui le composent, il faut toujours considérer un commencement et une fin à ces masses. Il en est ainsi pour les particules, les astres, et les galaxies. C’est pourquoi avant de devenir la grande Roue dans laquelle nous sommes, notre Galaxie était une petite boule d’étoiles, un amas qui naquit au sein même d’une autre galaxie. Ce qui fut son commencement. Puis cet amas se retrouva dans l’espace intergalactique. Là, il se développa et acquit son propre mouvement.

 

(17) Cela s’est produit il y a longtemps, longtemps, toute la durée qu’il fallut à l’épanouissement d’une telle merveille au sein de laquelle chacun de vous peut dire maintenant : me voici dans le monde des vivants ! Ce qui est pareillement prononcé autour de chaque étoile qui nous précède dans la Roue, et aussi dans la galaxie mère, grand-mère, et arrière-grand-mère qui existent toujours dans l’espace.

 

(18) Tout comme les astres qui les forment, les galaxies ont une généalogie qui se perd dans l’immensité des temps que l’on ne mesure qu’avec l’éternité. Ici encore, nous sommes forts éloignés des propos de ceux qui, reniant Dieu, donnent une origine singulière à l’univers. Ils sont alors obligés d’y trouver une fin, sans quoi ils auraient inventé l’éternité... Ils rendent donc l’univers cataclysmique, instable et forcément temporaire. Ce qui est sans raison.

 

(19) Non, vous n’êtes point les enfants du chaos, mais les enfants de l’amour, de l’intelligence et d’une subtile harmonie. En raison de la douceur et de la très grande fiabilité de l’activité électromagnétique de la matière, qui est la science et la force du Tout-Puissant, tout est stable et calme dans l’univers éternel. En son sein, le cataclysme dévastateur est absolument exclu.

 

(20) Il est désormais manifeste que si on ne connaît pas le principe d’existence des astres (intégration – désintégration), qui est aussi le principe d’existence des êtres, la compréhension de l’univers est tout à fait exclue. Et si l’on ne saisit point Dieu qui est la raison d’être de l’univers, cette fois toutes les portes se ferment devant soi, et tout jugement est inversé par rapport au réel. Comment serait-il alors possible que ceux qui scrutent le ciel en permanence, en ne connaissant point le principe d’existence des astres et des mondes, puissent saisir les merveilles qu’ils observent ? Ils constatent seulement ce qui s’y trouve et imaginent des choses sans comprendre. Alors, pour se faire valoir, ils injurient Dieu avec des propos diffamant qui blessent la conscience, jusqu’au coeur des enfants. Mais retenons notre colère contre ces hommes, qui furent, et qui ne sont déjà plus.

 

(21) En fonction de ce qu’on vient de voir sur les galaxies, dont la raison d’être est de faire vivre des mondes au sommet desquels il y a toujours l’homme, on dira : en ce qui concerne la vie et son évolution, celle-ci se manifeste-t-elle au sein d’un amas comme elle se manifeste dans une galaxie adulte ? Je réponds d’abord que la vie n’évolue jamais, car il s’agit de la vie du Père qui est éternelle et parfaite, et que ce qui est éternel et parfait n’évolue pas. Ce sont les créatures créées en réponse aux conditions de vie du moment qui diffèrent jusqu’à la venue des hommes, et non la vie qui est en elles. Et c’est la durée du travail des astres qui importe pour le chemin de la vie, et non la distance qu’ils parcourent au sein de leur galaxie.

 

(22) Comparons toujours la galaxie à un troupeau ; parce que ce qui se produit au sein du troupeau, tant par les naissances que par les disparitions, se produit dans une grande roue. Comme il y a des petits et des grands troupeaux, il y a des petites et des grandes galaxies. Et comme dans un grand ou un petit troupeau les individus sont semblables, les astres et les mondes sont semblables dans une petite ou une grande galaxie.

 

(23) Il est certain que ce n’est qu’avec l’étude de la famille solaire qu’on peut comprendre les formations galactiques. En effet, si l’on ignore que c’est la planète qui devient étoile après avoir enfanté des satellites, on ne peut nullement expliquer l’existence et le mouvement des galaxies, pas plus que leur raison d’être qui est celle de faire vivre des myriades de mondes. Et puisque des étoiles naîtront dans la famille solaire, on comprend que le Soleil ne peut emmener ses astres destinés à briller et faire vivre leur propre monde. Le Soleil arrivera donc au coeur de la Galaxie avec seulement Mars, la Terre et la Lune, Vénus et Mercure.

 

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