Perception des phénomènes

Publié le par Domaine de Dieu

(4) Voir, ressentir la chaleur, entendre, sont des phénomènes dus exclusivement à ces vibrations produites dans l’essence et les corps. C’est pourquoi le Créateur nous a donné des yeux qui interceptent et interprètent certaines vibrations de l’essence et des oreilles qui, elles, interceptent et interprètent certaines vibrations des corps. Mais, parce que les phénomènes vibratoires sont d’une grande complexité, il faut se méfier du langage et des mots qui ne traduisent pas toujours leur réalité. Par exemple, si l’on dit : j’aperçois une lumière au loin... on dit une sottise, car la lumière ne se voit pas. Si elle se voyait, on serait dans un éblouissement constant, parce qu’on ne verrait qu’elle et non les objets. Non, ce que l’on aperçoit, ce n’est pas une lumière mais un point éblouissant qui fait vibrer l’essence jusqu’à soi. Pareillement, si l’on dit : le son se propage dans l’atmosphère... on dit encore une sottise ; parce que le son, en tant que tel, n’existe que lorsque les forces vibratoires sont captées par l’oreille. Hors de l’oreille, le son n’est que vibrations.

 

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34 – Mouvement de la matière

 

(5) Cette image symbolise en haut l’univers plein (par la rangée de boules en contact) et, en dessous, l’univers que l’on suppose vide (par la seule boule allant se déplacer en son sein). Si l’on frappe sur la première boule de la rangée du haut, la dernière boule de cette rangée bougera immédiatement comme si elle était reliée à la première par une barre rigide. Et si, avec la même force, on frappe cette fois sur la boule seule du dessous, celle-ci parcourra la distance pour aller d’un point à l’autre, en mettant un délai.

 

(6) Pour que la rangée de boules du haut représente l’essence de l’espace, on imagine les boules de toutes parts, se touchant les unes les autres. Quant à la boule seule, elle est la représentation d’une particule qui traverserait tout l’espace, comme le croient les savants qui mesurent les distances séparant les étoiles avec le temps que mettrait un photon ou un électron pour aller de l’une à l’autre. En raison de quoi, ils n’hésitent point à dire que nous voyons les étoiles dans le passé, parce que leurs fameuses particules mettent un certain temps pour venir d’une étoile jusqu’à nous et signaler qu’elle brille au loin, à tel endroit ! Cependant, si l’on voyait les étoiles dans le passé, telles qu’elles étaient il y a des millions et des milliards d’années lumière comme ils disent, il est incontestable qu’on verrait aussi toutes choses dans le passé, même celles qui sont sur terre, loin ou près de nous. Cela étant, chacun existerait en étant plus ou moins en avance sur tout ce qu’il voit...

 

(7) Mais il n’en est pas ainsi car, en raison de l’incompressibilité de l’essence qui bouge dans tout son volume, les étoiles nous apparaissent immédiatement telles qu’elles sont à l’instant où nous les observons. Regardez à nouveau la figure du haut, et imaginez le marteau et les vibrations qu’il provoque comme étant l’étoile et la dernière boule de la rangée comme si elle était en contact avec vous, et vous comprendrez qu’il n’existe aucune vitesse de la lumière, d’autant que cette dernière n’existe nullement. Non, ce qui illumine, éclaire et rend visible les choses, ce n’est pas la lumière, mais le déplacement de l’essence et son interception, comme cela est représenté par la rangée de boules.

 

(8) Un éclair d’orage fait vibrer très loin l’essence qui est incompressible, et on le voit immédiatement, sans délais ; tandis que le bruit de cet éclair nous parvient plus tard. Il en est ainsi, parce que l’atmosphère qui vibre au contact de l’éclair, elle, est compressible. Par conséquent, il y a forcément délai de répercussion du phénomène dans l’air. Je l’explique autrement : l’air est composé de particules qui sont plus ou moins écartées les unes des autres. L’eau, elle, est composée de particules qui se touchent. Un corps solide de densité supérieure, comme le métal par exemple, est composé de particules qui cette fois sont soudées les unes aux autres. Ainsi, des vibrations faites dans l’air, qui deviennent des sons pour les oreilles, s’évanouiront beaucoup plus vite que celles faites dans l’eau qui, elle, est incompressible, ou dans un corps solide qui l’est également. Par exemple, si on donne un coup sur un corps solide d’une extrême dureté, ce coup sera immédiatement entendu sur toute la surface de ce corps, parce que le corps vibre dans tout son volume. Dans ce cas, il n’y a aucun délai de répercussion du coup, contrairement aux délais que l’on observe dans l’eau ou dans l’air.

 

(9) La chaleur est faite par des vibrations de l’essence qui se propageront beaucoup plus vite dans l’air (où les particules sont espacées) que dans l’eau (où les particules sont serrées). Ces vibrations de l’essence, qui sont ressenties comme chaleur par le corps vivant, ont également pour effet de faire vibrer et d’écarter les particules qui composent les fluides. Dans l’atmosphère par exemple, ces vibrations font diminuer la densité de l’air en écartant les particules qui le composent. C’est pour cette raison que l’air chaud s’élève ; car, de densité inférieure à celle de l’air environnant, il est obligé de s’élever. En raison de cela, sur la Lune, un ballon rempli d’air chaud resterait sur le sol, parce qu’il n’y a pas d’atmosphère.

 

(10) Si maintenant on imagine non plus une rangée, mais une multitude de boules côte à côte et en tous sens, on comprend qu’en frappant sur l’une d’entre elles on obtiendrait le même résultat qu’avec une seule rangée, mais avec déploiement de la force. Et si l’on faisait de même avec une surface immense remplie de boules, celles-ci seraient beaucoup moins dérangées de loin en loin à cause du déploiement. On frapperait sur un seul point, alors que l’ensemble du volume bougerait. Une étoile est aussi un seul point dont la force dérange tout le volume de l’essence jusqu’à soi. Cela étant, on voit plus ou moins l’étoile selon sa distance.

 

3535 – Flux de l’essence dans le volume de l’univers

 

(11) Voici deux autres illustrations qui montrent que les étoiles sont telles qu’on les observe, et non telles qu’elles étaient dans le passé. L’image de gauche représente un secteur de magnétosphère par le flux descendant sur l’astre, et l’image de droite un secteur du souffle de l’étoile par le flux qui remonte d’elle. Si c’était des trémies dans lesquelles on met du grain et que l’on se trouve soi-même au milieu, on ne ressentirait pas le grain couler à la même vitesse ni avec la même force selon que l’on serait près ou loin du petit côté. En conséquence, si nous étions nous-mêmes la boule foncée de la figure de gauche, nous pèserions beaucoup plus près du petit côté de la trémie, à cause du grain qui coulerait plus fort à cet endroit. Inversement, si nous étions la boule claire, nous pèserions beaucoup moins en étant placés en haut où le grain, moins dense, coulerait moins fortement sur nous. Cependant, près ou loin du petit côté de la trémie, le grain coulerait dans tout son volume, en étant plus ou moins déplacé.

 

(12) La figure de droite montre que le flux émanant de l’étoile se dirige dans l’espace en déployant son action. Alors, puisque tout le grain bouge en même temps dans son volume, et que cette force se ressent où que l’on soit en lui, il est manifeste qu’on voit les étoiles telles qu’elles sont et non telles qu’elles étaient dans le passé. Entre elles et nous, tout le volume de l’essence vibre en même temps, quoi qu’étant plus ou moins fortement déplacé. Ici sur la Terre, nous sommes, disons, dans la trémie du Soleil et proche de ce dernier, comme la boule claire de la figure de droite. Lorsque nous regardons une autre étoile, nous sommes aussi dans sa trémie, mais cette fois, dans la position de la boule foncée, plus éloignée, qui sent immédiatement vibrer le grain, mais un peu seulement. C’est pourquoi, nous apercevons à peine l’étoile et, inversement, beaucoup le Soleil. Et cela s’accentue par le fait que le souffle du Soleil tend à écraser le souffle des étoiles. Pour toutes ces raisons, nous croyions fermement que les étoiles étaient beaucoup plus éloignées de nous qu’elles ne le sont en réalité.

 

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