La tache ovale de Jupiter

Publié le par Domaine de Dieu

(9) Depuis la Terre, nous pouvons observer l’atmosphère géante des planétoiles et plus particulièrement celle de Jupiter au bord de laquelle nous discernons une tache permanente, rouge et ovale. Ces atmosphères sont toutes constituées de bandes claires et sombres que l’on distingue sur leur disque. Pour comprendre pourquoi il en est ainsi, sachons d’abord que, dans sa rotation, l’astre entraîne son immense magnétosphère qui, de la sorte, est plus ou moins vrillée. Ainsi, un corps venant du ciel ne peut tomber d’une façon absolument verticale. Pareillement, les électrons de l’anneau solaire sur lequel Jupiter évolue arrivent de l’extérieur sur cet astre, en voyant leur trajectoire plus ou moins vrillée par la magnétosphère. Cela étant, l’anneau solaire qui s’engouffre dans l’atmosphère se déforme et ne constitue plus un cercle parfait à l’approche de l’astre. Il convient de le remarquer, pour pouvoir comprendre le positionnement de la tache rouge sur le disque de Jupiter ; car il est évident que cette tache est faite par l’anneau plat du Soleil qui s’ovalise progressivement jusqu’au contact du noyau rond.

 

2222 – Passage de l’anneau solaire sur Jupiter

 

(10) Ici sont représentés le noyau et l’immense atmosphère de Jupiter, ainsi que l’anneau solaire qui arrive au contact du noyau et en repart plus ou moins déformé. Désormais, nous savons que Jupiter est une sphère aimantée sur laquelle les électrons de l’anneau solaire sont obligés de passer, et que ce flot d’électrons peut souffler les gaz à son passage, comme nous l’avons vu avec l’exemple de la chandelle. On en conclut alors que cet anneau, plat et large dans le lointain, se densifie et s’ovalise forcément à l’approche de la sphère métallique, et crée de la sorte une turbulence de forme ovale dans l’atmosphère, depuis le bord de celle-ci.

 

(11) Par sa grande largeur, cette fameuse tache ovale montre nettement la taille du noyau métallique de Jupiter. Et on la voit rouge parce que, formée par l’anneau qui s’engouffre dans l’atmosphère, elle ne peut réfléchir la lumière solaire de la même façon que ne le fait le reste de l’atmosphère composé d’une couche de cristaux de glace en haute altitude. Elle nous apparaît donc rouge pour cette raison. Et elle ne se déplace nullement sur le disque de Jupiter comme l’affirment ceux qui la surveillent attentivement. Non, elle reste au même endroit par rapport à l’anneau solaire qui la forme. Si on l’observe sur le disque dans des positions différentes chaque année, comme si elle faisait le tour de l’astre dans un sens et dans l’autre, c’est que l’angle d’observation depuis la Terre a changé. Jupiter met en effet plus de onze de nos années pour accomplir une révolution entière, en étant fortement incliné sur son axe par rapport au plan des anneaux du Soleil. Aussi, tous les ans, on aperçoit cette tache positionnée différemment sur son disque, par changement d’angle d’observation. Elle ne fait donc pas le tour de l’astre, même si elle en donne l’apparence.

 

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(12) Comme l’anneau solaire tourne forcément plus vite autour du Soleil que ne le fait Jupiter, ce dernier fait résistance et s’échauffe fortement. Or, comme sur toute résistance, il y a forcément une entrée et une sortie du courant formé par les électrons. Il y a donc une différence certaine selon que l’on regarde le côté où l’anneau pénètre dans l’atmosphère ou le côté où il en sort. Du côté où il en sort, les électrons sont arrachés à la sphère, tandis que du côté où il entre, les électrons descendent sur la sphère en se concentrant. Cela signifie que la section de l’anneau ne peut pas être identique de part et d’autre au contact de l’astre, et qu’il ne peut exister une tache semblable des deux côtés.

 

(13) Produite par l’anneau solaire, cette forme ovale révèle à l’évidence que le diamètre du noyau de Jupiter est de peu supérieur à celui de la Terre qui entrerait tout juste dans la grande largeur de cette forme. Il en est forcément de même pour les noyaux de Saturne, d’Uranus et de Neptune qui, étant plus âgés, ne sont que légèrement plus gros que celui de Jupiter. Cela nous donne aussi une vision plus exacte de la taille du noyau solaire, et par là même de toutes les étoiles ; car tous les astres sont issus de l’unique phénomène électromagnétique. Les astres ne peuvent alors pas avoir les énormes différences de taille que les savants vous faisaient croire dans les ténèbres de ce monde.

 

2323 – La tache rouge de Jupiter

 

(14) Voici, telle qu’on l’observe, l’image extérieure de Jupiter. Cette image montre l’anneau sur la tranche, déjà ovalisé depuis assez loin ; d’où son épaisseur sur la figure. Il apparaît alors que l’anneau du Soleil est comme un pieu immuable dans l’atmosphère de Jupiter, et que cela ne peut qu’engendrer un retard des gaz qui s’y heurtent dans leur rotation. Puisque, comme toutes les planétoiles, Jupiter tourne rapidement sur son axe en entraînant sa masse atmosphérique dans sa rotation, on assiste forcément au brassage de cette atmosphère à partir de ce pieu immuable sur lequel les gaz et les cristaux de haute altitude se heurtent. Son atmosphère est donc obligée de se centrifuger, et de former ainsi les bandes claires et sombres que l’on observe. La centrifugation est la séparation des constituants d’un mélange par la force centrifuge. Ces bandes en sont la conséquence, car elles résultent de la séparation des gaz liquéfiés sous forme de brouillard ou de cristaux en haute altitude, et auxquels gaz se mélangent les fumées et les poussières provenant de l’intense volcanisme qui règne sur cet astre.

 

(15) Formée de l’extérieur par l’anneau solaire, la tache rouge de Jupiter n’est donc pas d’origine interne ; et elle ne pouvait nullement être saisie à partir des observations que l’on faisait d’elle depuis la Terre. Mais puisque les planètes qui se préparent à devenir étoiles suivent le même processus électromagnétique, on en déduit que la fameuse tache ovale doit exister pareillement sur Saturne, Uranus et Neptune. Toutefois, comme sur ces planétoiles tout est plus avancé que sur Jupiter, cette tache est peut-être moins visible et différente d’aspect, d’autant que les anneaux du Soleil sur lesquels elles règnent sont différents, eux aussi, en étant plus vastes et plus éloignés. Mais c’est le phénomène qui importe et non son aspect. Il est obligé cependant que ces planètes se ressemblent et que leur atmosphère de grande épaisseur soit brassée par les anneaux solaires sur lesquels elles évoluent.

 

(16) En raison de toutes ces évidences, il vous apparaît que je n’arrange pas les faits pour qu’il en soit ainsi, mais que ce sont eux qui s’unissent pour qu’il n’en soit pas autrement. L’expérience de l’électricité soufflant les gaz de la chandelle le démontre amplement, car il est évident que l’anneau solaire peut aisément créer une turbulence dans l’atmosphère. C’est pourquoi, à elle seule, la tache ovale est le témoignage formel que Jupiter est une sphère métallique légèrement plus grande que la Terre, ainsi qu’une résistance électrique et non une boule de gaz ! Soyez donc fort attentifs aux explications de Jupiter ; car, avec ses satellites, son atmosphère et sa tache rouge, cet astre est en lui la preuve irréfutable que l’électromagnétisme universel est bien tel qu’il est enseigné par le Fils de l’homme.

   

http://lelivredevie.com/le-cycle-de-la-matiere/jupiter-et-ses-semblables.php#la.tache.ovale.de.jupiter

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J
La tache de jupiter tourne... Elle n'est pas statique. Comment expliquez vous cela ?
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